L’ESCARGOT FAIT SES PREUVES AVEC LES RECHERCHES DE MLLE AGATHE
Chez Mlle Agathe, l’escargot c’est du sérieux. Pour prouver l’efficacité de nos produits, ainsi que de notre procédé de récolte et d’extraction de la bave, nous avons mené plusieurs séries d’études scientifiques en partenariat avec le Muséum d’histoire naturelle de Paris et l’université de Rouen. Et devinez quoi, en cherchant nous avons trouvé !
Fabrice Pierron, notre fondateur nous raconte ces trouvailles qui ont changé la face de l’escargot. Et peut-être la vôtre…
Pourquoi Mlle Agathe a-t-elle cherché à mener des études scientifiques ? Comment le projet a-t-il vu le jour ?
F.P. Quand nous formulions nos produits, nous savions que la bave d’escargot que nous utilisions contenait plusieurs vertus. Par exemple, pour un de nos derniers produits, le sérum à 93 % de bave d’escargot, apprécié pour ses propriétés anti-âge, nous voulions nous assurer de connaître les protéines présentes naturellement dans ce produit.
D’autres études ont été réalisées sur la présence de protéines, mais nous avons mis un point d’honneur à avoir nos propres données sur notre propre extrait de bave. L’idée première était de s’assurer que les protéines, comme les collagènes et l’élastine que nous cherchions étaient bien présentes dans notre bave d’escargot. Aussi, la deuxième chose que nous voulions vérifier quand nous avons commencé les premières recherches était que le mucus récolté à la main était plus riche en protéines. C’est un fait que nous avions constaté, mais nous n’avions pas de preuves validées par la science ! En effet, nous sommes les seuls à réaliser une récolte à la main et à traiter notre bave d’escargot avec un procédé de basse pression à froid. Donc nous voulions valider cette hypothèse, comme notre manière de travailler avec l’escargot dans le respect de l’animal, sans le martyriser pour récupérer sa bave. Et comme souvent, pour ne pas dire tout le temps, plus on prend en compte l’animal et son bien-être et plus ce qu’il vous donne est de bonne qualité !
Quelles ont été les études menées par Mlle Agathe ?
F.P. Nous avons mené deux types d’études. Tout d’abord, nous avons procédé à une spectrométrie de masse, c’est-à-dire que nous avons utilisé un microscope super puissant pour identifier les protéines présentes. Puis, nous avons eu recours à la chromatographie pour nous permettre de quantifier les protéines présentes.
D’autres études similaires ont-elles déjà été menées ?
F.P. La littérature sur le sujet est assez dense ! Beaucoup d’études ont été produites sur le mucus dans le cadre du traitement de certaines pathologies médicales, comme certains cancers, Alzheimer, ou encore une colle chirurgicale, qui comme la bave d’escargot, continue à coller même dans un milieu humide.
Pourquoi avoir choisi de les mener avec ces institutions ?
F.P. Nous avons choisi le Muséum d’histoire naturelle pour la grandeur et le prestige de l’institution. Mais surtout, nous voulions choisir des gens qui étaient spécialistes de leurs sujets. Côté Muséum d’histoire naturelle, nous avons travaillé avec Arul Marie, dont l’expertise se porte sur le mollusque. A l’Université de Rouen, nous avons collaboré avec des spécialistes en actifs des cosmétiques.
Quels ont été les résultats ? Y a-t-il des faits marquants ?
F.P. Bien sûr, nous nous sommes posé la question, va-t-on avoir le résultat recherché ? Cela n’est jamais évident ! Au final, nous avons trouvé plus d’une centaine de protéines. Ensuite, tous ces résultats ont été mis en perspective avec des banques des données. 1er résultat : le mucus récolté à la main s’est avéré très riche en protéines. Sur plus 100 protéines découverte à ce jour, on a en identifié une trentaine. Et, fait marquant, sur notre première étude, quand on identifiait une protéine : celle-ci avait un rapport direct avec la peau, ou avec le système immunitaire de la peau, ou avec les collagènes de la peau. La deuxième étude que nous avons mené nous a conforté. Grâce à la chromatographie, nous avons pu identifier de l’hémocyanine, un régénérant cellulaire et de l’actine, un cicatrisant. Nous savons maintenant que ce sont les deux protéines majoritaires de la bave d’escargot. Ce qui signifie que ces recherches confortent les hypothèses d’Hippocrate à l’époque. Comme quoi, sans spectrométrie de masse, sans machines hyper puissantes, ils avaient déjà levé le mystère sur ces deux informations essentielles.
En plus de ça, cerise sur le gâteau, nous avons découvert de la vitamine D et c’est sans doute notre plus grosse avancée. Normalement, seule la peau fabrique sa vitamine D. Là, nous avons découvert de la vitamine D qui serait bio-assimilable pour la peau. Inédit !
En quoi les résultats de ces études légitiment-ils l’efficacité des produits de Mlle Agathe ?
F.P. Quand nous parlons de collagène ou d’élastine dans nos produits, en réalité, nous les avons vraiment trouvés ! Que vous achetiez notre gel purifiant pour peau à tendance acnéique contenant 65 % d’extrait de bave d’escargot, ou bien encore notre élixir pour peau atopique composé à 62 % d’extrait de bave d’escargot, cela légitime complètement leur formulation, ainsi que nos procédés d’extraction. Ce que nous avons pu comprendre aussi avec les études menées, c’est que ces protéines ont la bonne taille pour passer la barrière de la peau. Bilan, nous avons bien aujourd’hui la certitude que notre mucus est riche en protéines et que celles-ci apportent beaucoup de bienfaits à la peau.
Y a-t-il une anecdote qui vous vient à l’esprit ? F.P. J’ai été impressionné quand je suis allé au laboratoire du Museum d’histoire naturelle qui se trouve juste à côté du musée. On se balade tout près de là où Pierre et Marie Curie ont travaillé. On a cette curieuse impression de voyager dans le temps...
Est-ce que Mlle Agathe réitérera l’expérience ? F.P. On est sur une nouvelle étude à venir prochainement...